Témoignage d'Adrien Sgard
Ce voyage en Afrique était un projet que j'avais en tête depuis quelques années, que ce soit pour l'entraide ou l'échange qui sont deux valeurs qui me tiennent à cœur.
La réunion avec Sophie quelques semaines avant le départ a été une mine d'informations, certaines rassurantes, d'autres un peu moins.
Nous nous rendions au Bénin et au Togo. Deux pays où il faudrait sortir de notre zone de confort, et nous adapter à la culture locale.
Ce fut une des expériences les plus merveilleuse de ma vie. D'un point de vue humain, l'accueil que nous avons reçu à l'ONG CAFE au Togo, ou à l'orphelinat Un enfant, une vie au Bénin, est le meilleur souvenir que je garde de ce voyage.
Les gens là-bas nous ont transmis énormément, en sourires, en amour et en bienveillance. Et les quelques fournitures que nous avions apportées étaient bien peu de choses comparées à ça.
Finalement ce fut nos propres sourires et la bonne humeur que nous donnions en retour qui m'a semblé le plus important.
Nous y allions quand même avec un objectif, avec notre association Malco : Travailler avec l'ONG CAFE dans une relation d'échange et d'entraide avec nos jeunes en alternance ici, en France.
Nous avons donc organisé une réunion où, Sophie avec CoHose, a était d'un grand secours. Elle nous a aidé à lancer la réunion, identifier les besoins, ce que nous pouvions apporter, et les étapes pour y parvenir. Elle a su structurer le dialogue, et cette première rencontre à donné vie à un véritable projet, qui évolue et avance doucement et sûrement.
Pour résumer, ce voyage est une expérience qui m'a enrichi bien plus que je ne l'aurai imaginé. Je voulais découvrir l'Afrique. Je l'ai fait de la meilleure des façons. En rencontrant et en vivant parmi la population locale, et en rendant ce voyage utile.
Bien sûr il y a de gros problèmes là bas, la pauvreté, l'éducation... Mais il y a des gens merveilleux qui cherchent à améliorer les choses et les rencontrer donne encore plus envie d'aider, même si ce n'est qu'à petite échelle.
Je remercierai jamais assez les gens qui m'ont permis de vivre ça.